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 Run as you can ! ft Taylor A. Connor

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MessageSujet: Run as you can ! ft Taylor A. Connor   Run as you can ! ft Taylor A. Connor EmptySam 9 Jan - 20:57

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Run as you can ! ft Taylor A. Connor


    La froideur de l’hiver ne m’empêchait pas de me promener. J’avais besoin de prendre l’air et je détestais par-dessus tout rester enfermer. Par habitude, j’allais me balader dans les environs de la forêt mais l’heure était trop tardive. Je me contentai alors de la ville. Elle était assez désertique. Rares étaient les habitants qui sortaient et qu’on pouvait croiser. Je n’avais encore jamais exploré la partie de la ville renommée pour ses étroites et sombres ruelles. Je m’étais donc laissé guider par mon instinct dans ces rues. C’était là qu’on pouvait se rendre compte de l’étrangeté qu’était cette ville. Bien qu’à première impression Black Valley pourrait paraitre un petit village fantôme, il s’avérait vite être plutôt une ville recelant mille et un secrets et qu’après un mois passé, il vous étonne encore. Et c’était mon cas à l’instant même, où chaque ruelle m’intriguait, où à chaque coin de rue je me questionne sur la ruelle suivante.

    L’obscurité planait au-dessus de la ville. Les nuages se disputaient, se chamaillaient à savoir lequel aura l’honneur de voiler la lune et cacher de la sorte la dernière source de lumière naturelle. Les quelques réverbères de la ville ne permettaient pas une vision claire et je marchai prudemment. Le sol était enneigé par la multitude des flocons que les sombres nuages avaient apportés durant la journée. Le vent était glacial et il soufflait éperdument sur la ville, ce qui entrainait une grande difficulté à avancer.

    Je continuais de marcher sans but. Je ne cessais de penser sans résultat. Néanmoins, je continuais. Je ne voulais pas rentrer chez moi tout de suite, je savais que cette soirée avait une finalité prévue, je le sentais. J’étais conscient que je pouvais me tromper mais je restais tout de même, par curiosité. Je marchais dans des ruelles aussi étroites que sombres. Je ne savais pas où j’étais, je commençais à me perdre dans ce labyrinthe. Toutefois, un bruit me sortit de mes pensées. J’accélérai le pas. L’enchevêtrement des ses ruelles me rendait fou. J’avais l’impression d’être déjà passé cinq fois par ici. Étais-je déjà perdu ? Je le craignais…

    La nuit avançait à son rythme habituel et il commençait à faire noir. Je ne voyais plus qu’à quelques mètres devant moi seulement. J’avançais les yeux fermés dans cet enfer terrestre. Mon souffle accéléré trahissait ma présence et je me rendis compte que je courrais presque. Pour la première fois depuis bien longtemps, je me mis à prier ma bonne étoile de venir m’éclairer maintenant et de me montrer le chemin du retour. De nouveau, un bruit se fit entendre, rompant le calme plat. C’était une voix de femme. Mais que se passait-il ?
    Je débouchai sur une ruelle encore plus étroite que la plupart des autres et vit une femme assise sur un banc. Je m’approchai, me demandant ce qu’il pouvait bien se passer.

    Mon coeur battait rapidement et ma respiration se faisait clairement entendre. Je n'espérais qu'une chose, que je ne faisais pas face au diable en personne ! Quelle idée, ce n'était qu'une femme...
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MessageSujet: Re: Run as you can ! ft Taylor A. Connor   Run as you can ! ft Taylor A. Connor EmptyLun 11 Jan - 4:50

La nuit n'était pas chaude, je l'avoue. Mais vous auriez vu comment je suis habillée, vous auriez compris le pourquoi ! Parce que, tout simplement. Ne posez pas trop de question, je pourrais vous mentir, je suis douée pour mentir. C'est sûrement un de mes point fort, le mensonge. Dans le monde où je vis, mentir est un échappatoir, notre moyen de survivre, notre roue de secours. Mensonge, par-dessus mensonge. Enfin bref, je mentirais, comme toujours. Je ne rappelle plus la dernière fois ou j'ai vraiment été sincère. Ah oui ! Je me rappel très bien, c'était il y a deux ans, mais je ne vous raconterais pas l'histoire. Juste à y penser, j'ai les larmes qui monte et qui ne tarderont pas à coulés bientôt.

J'étais sortie pour aller simplement acheter un paquet de cigarette. Pendant la nuit, que voulez-vous je déteste sortir quand il fait jour, croisez du monde alors je sors le soir. Mais c'est surtout pour pensée, avec de la musique qui joue à fond dans mes oreilles. J'en deviendrais même peut-être sourde, un jour peut-être. Qui sais ? Personne. Donc taisez-vous. Je rentrais dans le dépanneur miteaux de Black Valley, allait au comptoir, demanda un paquet de cigarette et paya.

Je me promenais dans les ruelles depuis un bon moment, environ une heure. J'avais vraiment très froid, mais je ne voulais pas rentrer me coucher. Marchant de ruelle en ruelle, elle était interminable ou bout du compte. Je déboucha sur une autre ruelle, mais celle-ci serait la dernière, enfin je crois. Je vis un banc au loin, voilà mon petit coin tranquille pour les prochaines minutes. J'allais m'asseoir sur ce banc, pris une cigarette et l'alluma. Au bout de quelque minute, je l'écrasa sur le banc et la jeta sur le sol. La musique encore à fond, la musique est une raison de vivre.

Un homme d'environ trente ans marchait dans les rues de Black Valley, comme moi. Mais lui semblait ivre, complètement ivre. Il s'approcha de moi, s'assis près de moi. J'enleva un écouteur de mon oreille et le regarda dans les yeux. Il mit une main sur ma cuisse, quel pervers. Bien, je n'aidais pas ma cause, moi qui portais une jupe aussi courte, mais une paire de chaussette haute. Il me sourit, laissant voir une rangée de dents complètement pourrite. Dégoutant. J'enleva sa main, mais il la remit.

- Si tu n'enlève pas ta main dans les dix prochaines secondes, je crie
- Bien sûr dit-il en rigolant

Je cria, il me claqua la joue. Il venait de signé son arrêt de mort. Je cria encore une fois. Il partie. Je souria, mais quelque larmes commença à se frayer un chemin jusqu'à mes yeux. Je laissa coulés les larmes.
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MessageSujet: Re: Run as you can ! ft Taylor A. Connor   Run as you can ! ft Taylor A. Connor EmptyMar 12 Jan - 22:55

    Le vent soufflait éperdument sur les hauts édifices qui ne feintaient à bouger. De plus, la plus vint s’en mêler. Et, la pluie, c’était ce que je détestais par-dessus tout ! Surtout, lors d’une de mes promenades. Toutefois, ma balade nocturne se réduira de façon considérée si les nuages pluvieux ne s’en allaient pas d’ici peu. Alors que j’étais en train de me promener calmement dans les ruelles sombres et étroites, j’avais entendu à plusieurs reprises une sorte de petit cri. Intrigué, j’avais suivi le son et j’étais arrivé sur une petite et ancienne place, coincée entre de hauts et froids bâtiments. La nuit, et même de jour, certains endroits de Black Valley étaient repoussants et, si on avait la possibilité, à éviter. Néanmoins, j’étais différent de tous les humains et tout ce qu’il valait mieux ne pas faire, je les réalisais avec joie.

    Une jeune femme était assise sur un banc et un homme l’accotait. Cette situation avait un dégagement étrange. Ce n’était pas dans mes habitudes de me mêler des histoires d’autrui mais je ne pouvais rester impassible devant ce tableau ; l’homme, d’apparence ivre, posait sa main sur les cuisses de la jeune femme et apparemment cette dernière n’appréciait que trop peu. La femme lui dit une phrase que je ne pus entendre mais l’homme laissa s’échapper de sa bouche à peine deux mots, que je ne compris pas plus que les précédents. Puis soudainement, la jeune femme poussa un cri aigu qui vint perturber le calme de mes pensées et importuner mes oreilles. Je m’adossai contre un réverbère, l’unique de la rue, qui dispersait sa lumière autour de moi. Je regardais la scène d’un air attentif. Subitement, je vis l’homme la gifler violemment et il en résulta un claquement fortement audible, qui ne me laissa pas placide. J’avançai doucement, me rapprochant du banc. La jeune femme cria de nouveau et l’homme saoul se leva et partit. Même si je me trouvais assez loin, je pus apercevoir quelques larmes couler sur le visage délicat de la femme. Je me risquai à approcher, calmement. Je m’assis sur le banc, juste à côté d’elle. Etrangement, elle ne réagit pas et fit comme si elle ne m’avait pas remarqué, ce qui m’aurait étonné. Je ne dis rien, restant dans le silence et attendant une quelconque réaction. Vu qu’elle tardait à venir et que je commençais à m’impatienter, je me tournai vers elle.

    • Vous savez, il ne faut pas faire attention à ce genre de type. Son état d’ivresse le rend totalement ailleurs. Ne lui reprocher donc pas cette attitude mais sermonnez-lui plutôt de s’être saoulé.


    Je me remis face aux maisons, sans la regarder. Je n’attendais pas de réponses ; et ce fut pour cela que je me levai et commençai à marcher vers le centre de la ville, avec l’intention de reprendre le chemin de mon domicile qui se situait bien loin d’ici. Toutefois, je ne pus m’empêcher de jeter un dernier regard vers la jeune femme. Je restais sans bouger, à la regarder. C’était une simple humaine, cela se sentait. Néanmoins, fallait-il pour autant la négliger ?

    • Et aussi, je suis Jonathan Peter Bass.


    Je me tournai et m’engageai dans la rue. Je ne savais pas pourquoi je lui avais précisé mon nom, à quoi cela servirait-il ? A rien probablement. J’espérais qu’elle faisait partie des rares habitants de Black Valley qui ignoraient encore qui étaient vraiment les Bass, des loups-garous. Elle n’avait montré aucun rictus à l’entende du nom et n’avait pas réagi. Cependant, je ne savais pas ce qu’elle pensait en elle ; qui sait, si cela tombe, elle était en train de se morfondre que je revienne vers elle afin de me questionner. Ou pas …

    Le vent soufflait toujours, d’une façon aléatoire ; tantôt quelques brises et plus tard de lourdes bourrasques. La nuit suivait son rythme et la lune siégeait au milieu des cieux, en seule et unique reine, entourée par une multitude d’étoiles. Je détournai mon regard de l’astre, de peur que l’envie qui m’avait tant rongée revienne. Cela serait fortement inconvenable que je vienne à me transformer maintenant en l’horrible créature qui se taire en moi à chaque instant. Les gens gardent à jamais graver en leur mémoire leur première rencontre avec certaines personnes et je n’avais pas envie que cette jeune femme se rappelle notre rencontre en tant que désastre, horrifiée par un loup-garou. Je m’enrichissais de mes propres mésaventures ; je me rappelais de ce jour, ou plutôt de cette nuit, à Vancouver où j’avais rencontré un simple humain, à première vue bien intentionné. Il avait fallu que je me métamorphose en loup et l’effraye à jamais.

    Alors que j’allais tourner au coin et m’engager dans la ruelle suivante, j’entendis une voix. Je me retournai et je vis que la jeune femme me fixait ; c’était elle qui m’avait interpelé. Je fis donc demi-tour et m’avançai vers elle.

    J’écoutais chaque bruit que faisait mes pas contre les pavés de la rue ; j’écoutais chaque inspiration et chaque expiration que mes poumons produisaient ; j’écoutais chaque pensée qui fourmillait en ma tête, consacrant à chacune, même à la plus moindre, une importance capitale.
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MessageSujet: Re: Run as you can ! ft Taylor A. Connor   Run as you can ! ft Taylor A. Connor EmptySam 23 Jan - 21:56

Sans vraiment s'y attendre, quand je cria pour la seconde fois, l'homme parti. Furieux en quelque sorte. Il trouverait mieux ailleurs. Quand l'homme fût assez loin, j'éclata en sanglots. Au bout de quelque minutes, j'essuya les larmes qui coulait sur mes joues. J'étais très mal à l'aise en ce moment.

Soudainement, une personne s'assis près de moi. Je ne réagis pas, de toute manière à quoi sa servirait ? À rien du tout. Ce n'est pas parce que Black Valley était un petit village que c'était sûr que j'allais revoir cet personne qui était assis près de moi. Je pouvais remarquer que c'était un homme. J'avais ma dose des hommes pour ce soir. Je remarqua que la personne attendait que je parle, mais rien. Je n'allais pas ouvrir ma bouche et sortir un son. Non pas du tout. Je resta silencieuse. Il s'impatienta et lança :

Vous savez, il ne faut pas faire attention à ce genre de type. Son état d’ivresse le rend totalement ailleurs. Ne lui reprocher donc pas cette attitude mais sermonnez-lui plutôt de s’être saoulé.

Je ne répondis pas, j'ai dit que j'allais rester silencieuse. Il serait mieux qu'il parte, parce que parler seule à une inconnue sa fais un peu cinglé. Enfin je trouve, je sais pas pour vous, mais moi je trouve que oui. Donc, il se remis face au maison. Au bout de quelque minutes, il se leva enfin et partie. Mais revient sur c'est pas et lança une autre fois :

Et aussi, je suis Jonathan Peter Bass.

Oui, oui bien sûr. Bravo tu sais comment tu t'appelles. Pourquoi m'avait-il dit son prénom, que ferais-je avec un prénom d'un inconnu ? Absolument rien. Je ne savais même qui c'était.

Il continua de marcher, que suis-je bête. Il essayait seulement de m'aider en quelque sorte.

- Jonathan ?

Je ne savais s'il m'avait attendu, mais j'espérais que oui. Un espoir revient en moi, quand je l'aperçu s'approché de moi lentement. Il se rassis près de moi.

- Je suis Taylor Aly Connor et désolé de mon comportement.
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MessageSujet: Re: Run as you can ! ft Taylor A. Connor   Run as you can ! ft Taylor A. Connor EmptyMer 27 Jan - 23:23

    Le souffle du vent me chatouilla les narines et effleura ma peau nue du visage, provoquant quelques frissons. Je marchais vers la jeune femme qui venait de me rappeler, d’une allure lente et lasse, comme celle que j’avais en fin de journée. En y pensant, il commençait à se faire tard et je n’allais plus trainer trop longtemps par ici. Le bruit de mes pas résonnait sur les pavés de la rue et j’allai en silence me rasseoir à côté de la jeune femme sur le banc. Je laissai mon regard dériver loin de cette rue, loin de cette ville. Plus les jours passaient, plus je trouvais Black Valley trop calme. Je commençais à m’ennuyer dans la forêt, cela m’agaçait de marcher dans ce dédale d’étroites ruelles qui ne finissaient jamais, je me lassais de ce temps perpétuellement mauvais agrémenté de vent et de neige. Au fait, Vancouver me manquait atrocement.

    La voix de la femme rapatria mes songes à mon corps et j’écoutai ces propos. Elle s’appelait donc Taylor Aly Connor ; je n’avais jamais entendu parler d’elle. De plus, elle ajouta qu’elle s’excuse. Charmant.

    • Oh pas de problème. Je n’aurais pas du vous importuner de la sorte. Veuillez m’en excuser.


    Je ne pus m’empêcher de laisser apparaitre un petit rictus, prouvant ma contrariété. Je détestais le vouvoiement, surtout quand la personne atteinte était moins âgée que moi. Mais bon, c’était par principe, règle de politesse. Toutefois, je ne désirais pas faire mauvaise impression auprès de cette jeune femme et je voulais mettre le plus de chance de mon côté pour apparaitre comme un vrai gentleman, que je ne suis malheureusement pas. Je relevai la tête vers les étoiles et observai le ciel étrangement dégagé. C’était rare ces temps-ci qu’il ne soit pas couvert par une multitude d’indénombrables nuages. L’éclat de la lune me parvenait et je dus me contenir pour ne pas lâcher un faible hurlement. Je détournai rapidement mon regard de l’astre et me retournai vers la jeune femme.

    • Au fait, que faites-vous à une heure si tardive dans ces ruelles, si mon indiscrétion ne vous déplaise pas de trop ?


    Je laissai un léger soupire sortir de mes entrailles. Comme je détestais vouvoyer. Enfin bon, cela viendra avec l’habitude…

    Je me levai du banc et me mis à marcher dans les environs afin de dégourdir mes jambes ankylosées. Je m’adossai contre le réverbère et regardai à nouveau vers le ciel. Fut-ce par quelle mégarde j’oubliai que la lune régnait en seule et unique reine au milieu des cieux ? Je devais me dépêcher à finir cette entrevue au plus rapidement possible avant que mon côté bestial prenne le dessus.

    Je vins me rasseoir sagement, perturbé par l’emprise que la lune faisait sur moi. Je tournai la tête vers Taylor et écoutai ce qu’elle était en train de dire.
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MessageSujet: Re: Run as you can ! ft Taylor A. Connor   Run as you can ! ft Taylor A. Connor EmptyVen 5 Fév - 4:03

    Quand j'avais criée son nom, Jonathan c'était retourné, m'avait regardé et était venu près de moi s'assoyant sur le banc également, toujours en silence. Je détestais restée dans le silence, cela était trop pesant pour moi. J'aimais quand quelqu'un parlait, en ce moment j'avais besoin qu'une personne parle comme pour me réchauffer le coeur ou encore pour me rassurer. Black Valley n'aidait pas énormément, ce village était très étrange, beaucoup de rumeurs couraient sur n'importe quoi, j'avais toujours balayer ce genre de ragots de ma vie. J'allais croire une rumeur quand je le verrais de mes propres yeux.

    Quand je m'étais excuser auprès de Jonathan, celui-ci avait dit qu'il n'y avait aucun problème. Je remonta mon visage pour mieux le regarder, quand il avait prononcer sa phrase, un rictus s'était installé sur son visage, quelque chose n'allait pas il était stressé. Sans que je puisse vraiment m'y attendre, Jonathan me posa une question très surprenante je l'avoue. J'aurais voulu lui mentir, mais on n'aurait dis qu'avec lui dans les parages je ne pouvais pas. Comment lui dire que j'avais eue une dispute avec mon père et ma mère sur mon comportement des derniers jours ? Comment lui dire que je détestais ma vie ? Comment lui dire que rien n'allais ? Comment ? Je ne savais même pas moi-même la réponse.

    Jonathan qui était assis près de moi, attendait que je lui donne une réponse, quand je m'apprêtai à parler il se leva rapidement et commença à marcher dans les environs, quelque chose n'allait pas avec lui. Puis quand je commençai à parler, il vint se rasseoir près de moi.

    - Ce que je fais ? Je réfléchis, rien ne va dans ma vie. Tout est très dure en ce moment.

    Il était là, assis près de moi, m'écoutant attentivement. Je ne savais pas si je devais lui faire confiance, une partie de moi-même voulait lui faire confiance, mais l'autre disait de pas lui faire confiance. Je connaissais Jonathan depuis cinq minutes environs, comment pourrais-je lui faire confiance ? Avant j'accordais ma confiance trop facilement, mais plus maintenant ..., je serais prudente cette fois.

    - Vous que faites-vous ici ?
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