As the Lamb turn into the Wolf - Pv Seth E. Hopkins

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Assise sur lui, les mains de Seth se pressant contre sa taille, Sam avait prononcé les fameux mots. Elle ne se souvenait pas de les avoir prononcé dans le passé et pourtant, ils semblaient si fluide dans sa bouche. Elle le sentit frémir avant qu'il ne la serre davantage, capturant par le fait même ses lèvres. Ses paupières s'abaissèrent aussitôt, une main glissant dans ses cheveux alors que son autre bras entourait son cou. Le baiser lui offrait une nouvelle avidité. Curieusement, cette tendresse semblait plus satisfaisante que toutes les caresses qui l'avaient effleuré. Puis il la collait contre lui et plus elle semblait fondre entre ses bras. Son corps frissonnait agréablement de cette sensation nouvelle qu'était à délectation d'un amour sans égale. Il libéra ses lèvres, Sam respirait bruyamment de l'échange passionné par son manque de souffle. Elle pris un instant avant d'ouvrir les yeux, les posant dans un regard qu'il était lui aussi tout à fait nouveau. De l'or pur, miroitant son reflet avec une telle appréciation. Leur front se rejoignirent, elle ferma de nouveau les yeux. Elle soupira agréablement lorsqu'il caressa sa joue, se mordant la lèvre lorsqu'il se glissa jusqu'à sa reluisante chevelure. Elle ouvrit les yeux dès qu'il prononça à son tour ces mots. Elle n'était même pas perplexe de découvrir qu'il en connaissait beaucoup sur elle, même se stupide nom de danseuses exotiques que sa mère avait eu la bêtise de lui infliger. Elle fonça les sourcils, l'enlaçant amoureusement tout en se glissant à son oreille.

- Je ne veux pas que tu sois à mes pieds, je veux que tu sois à mes côtés. Chaque jour et chaque nuit. Toi et moi, ensemble, pour l'éternité... -

Elle eut un rictus douloureux à ce dernier mot. L'éternité ne lui était pas accordée à elle, pire. Edward lui avait fait entendre qu'il quitterait cette terre le jour ou elle trépasserait... Samantha aimait Edward, sans contre-dit. Il était son étoile du berger, son Saint Graal, il était la source même de sa vie, de son bonheur. Pouvait-elle vivre avec la notion qu'un jour, par sa faute, il serait suffisamment troublé pour réellement pensé mettre fin à ses jours. Elle pouvait blesser, torturer, tuer s'il le fallait. Mais pensé être responsable de la mort d'Edward, c'était trop pour son coeur si fragile. Elle resserra son étreinte, blottissant son nez dans le creux de son cou. Il n'imaginait pas toute la volonté qu'elle devait y mettre pour s'empêcher de pleurer. D'abord de joie, parce que s'était sans doute le plus beau moment de toute sa vie, mais aussi de peine. La peine de penser devoir le quitter un jour. Même avant, lorsqu'elle serait une femme d'un certain âge et lui serait toujours prisonnier de ses vingt-six ans. Elle aurait un jour l'âge d'être sa mère et elle avait du mal à l'imaginer ce que serait leur intimité à ce moment. Lorsque la gêne et les complexes la pousserons à cacher son vieux corps à son bel ange. Elle soupira difficilement. Non, ça n'était pas le temps d'y penser. Elle avait encore quelques années avant de s'inquiéter. Elle arrivait bientôt dans la vingtaine, elle avait donc une demi-décennie pour le persuader de faire d'elle son égal. Elle releva la tête, plongeant son vert dans son or en ébullition. Un petit sourire aux coins des lèvres, elle se pencha sur lui, déposant un léger baiser contre le bout de ses lèvres. Était-ce suffisant.? Non, puisqu'elle se jeta ensuite avidement sur sa bouche, l'embrassant curieusement comme si c'était la dernière fois. Elle y mettait tant de pression, tant d'émotion. Ses mains se serraient contre les épaules de Seth, lui permettant ainsi d'évacuer toute la tension de son petit corps. Ses mains caressèrent ses épaules, se glissant lentement contre son torse inerte. Le baiser terminer, elle pris encore un instant avant d'ouvrir les yeux, les glissant contre sa plastique si parfaite. Il était écheveler de son escapade en plus d'avoir de l'huile à moteur qui parsemait toujours ses vêtements. Néanmoins, il était beau comme un dieu. Avant de l'amadoué, elle se dit que c'était le meilleur temps pour mettre les choses au clair. Son regard était doux, mais elle ne pouvait dissimuler cette étincelle de douleur qui la pinçait intérieurement.

- Je ne veux plus jamais que tu partes ainsi sans un mot. J'ai eu si peur, mon ange. Quand quelque chose ne vas pas, il faut en parler. Et si la solitude est vraiment ce qui te soulage, alors offre moi au moins la promesse de ton retour. De pensé que tu pourrais partir sans jamais revenir, c'est une douleur trop grande à mon coeur. Grogne, cogne, crie s'il le faut, mais ne m'abandonne plus comme tu l'as fait. Je ne le supporterais pas une seconde fois. J'ai besoin de toi Seth. J'ai besoin de toi comme j'ai besoin d'air. Tu m'est indispensable. -

Elle lui offrit un autre baiser, tout aussi tendre et affectueux que les précédents. Peut-être plus long et langoureux encore. Sa main posée contre son torse empoigna soudainement son vêtement, poursuivant tout de même le baiser. C'était si dur d'aimer un homme sans en recevoir les gratifications. Ne réalisait-il pas qu'elle se contenait depuis très longtemps pour lui. Nombre de fois elle avait ignoré ce chatouillement agaçant parce qu'il n'était que physique. Une envie qui la rongeait depuis que son corps était arrivé à maturité. Elle avait rêvé si souvent de lui avant même de le connaitre. Certes il n'avait pas de visage à l'époque. Mais il y avait un sentiment, une appréhension, une extase. Il était celui qu'elle attendait depuis si longtemps. Elle libéra enfin ses lèvres, expirant difficilement son envie. Puis, une idée effleura son esprit. Avec le déluge qui grondait dehors, ils pouvaient oublier leur petite escapade dans les bois, ce qui la chagrinait au plus haut point. Elle était avide de contempler cette vue aérienne dont il lui avait parlé, mais il y aurait beaucoup d'autres jours qui suivrait. Il devait trouver quelque chose de plus intérieur, qui plus est le soleil avait disparu, c'était peut-être une des seules journées ou ils pourraient aller se balader en ville comme les vrais couples le font.

- Tu devrais aller te doucher toi aussi, tu es un vampire, pas un ermite. On pourrait sortir en ville... Je crois que je sais ce que je vais faire de mes économies maintenant que je t'ai pour moi... -

Elle avait terminé en lui soufflant doucement à l'oreille. Elle n'était pas très claire sur ce qu'elle voulait, ce qui était d'abord son but premier. Était-il curieux.? C'était une bonne façon de le savoir. Elle l'embrassa une dernière fois avant de se lever sur ses pieds, glissant ses doigts entre ses mèches rebelles. Cette fois, c'était simplement une affection qu'elle lui offrait. Elle le poussa de sa hanche pour l'inciter à bouger avant de se diriger vers la cuisine.

- Vite avant que mon appétit ne deviennes cannibale. -

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- Que veut-tu acheter ? Je ne pense guère être la raison d'une dépense. -

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Invité

Elle n'oublierait jamais ce visage, cette mou, la façon dont il avait mignonnement penché la tête sur le côté. Elle ne lui avait répondu que d'un sourire, pas question de gâcher la surprise! Un dernier baiser et il s'éclipsa en moins de deux. Son sourire s'étira davantage. La vie ne serais jamais ennuyante ou dénudé de fantasique avec lui. Même en se dirigeant à la douche, il arrivait à être l'amant littéraire dont elle avait toujours rêver. Elle se dirigea au frigo, à nouveau. À cette pensée elle se dit d'ailleurs qu'elle ferait mieux d'aller cueillir la pomme qu'elle avait négligement échapper sur le sol du garage. Elle parcouru rapidement l'intérieur de l'électro, poussant un soupir difficile avant de la refermer. Une pomme, c'est plus que suffissant. QUoi que maintenant que Seth était près d'elle, elle craignait qu'il ne remarque toute les carences qu'elle infligeait à son corps. Elle fit volte-face, examinant le reste de la maison sans savoir quoi faire en attendant son bel âtre. Puis, une idée plutôt perverse lui traversa l'esprit. Edward, à l'étage. Sous la douche. Nu. Elle eut un malin sourire qui se dessina sur ses lèvres alors que le bruit de l'eau venait caresser ses oreilles. Elle ferma les yeux un instant, cherchant la force de résister à l'envie de grimper les escaliers. C'était plus que ce qu'elle était en mesure de faire, c'est peut-être pourquoi elle se précipita vers les marches dans une grâce presque malsaine. Elle montait les escaliers à la manière d'un voleur. Silencieusement et tranquillement. Elle arriva enfin à l'étage, posant aussitôt les yeux sur la porte entre-ouverte au bout du couloir. Elle pouvait déjà se délecter se sa magnifique silouhette qui se dessinait à travers le rideau de douche. Ses larges épaules, sa taille imposante et ses plastiques bien rondes. Elle s'en mordait la lèvre, avançant à pas de souris tout en retirant le pull qu'elle lui avait emprunter. Elle s'avança jusqu'à la salle de bain, faisant habillement glisser le grand jogging noir de Seth. Sa peau frissonna légèrement alors qu'elle s'avançait vers la baignoire, tirant doucement le rideau de la douche. Il détourna légèrement la tête, posant ses grands yeux brillants sur sa fine silouhette maintenant nue.

- Ne t'inquiète pas comme ça, je ne ferais jamais rien qui soit contre ta volonté si fragile. -

C'était un ton blagueur, presque coquin qui s'échappait de ses lèvres alors qu'elle se glissait sous la douche avec lui. Elle eut un rictus presque douloureux, elle ne s'attendait pas vraiment à une eau aussi froide. Bon elle était tiède, mais pour Samantha c'était très froid. Il n'était surement pas de ceux à vouloir économiser sur la facture d'électricité. N'aimait-il pas la chaleur.? Pourtant son corps à elle semblait lui apporter un certain réconfort. Elle s'étira jusqu'à la la valve, réchauffant légèrement la douche. Pas assez pour dire qu'elle était chaude, mais suffisamment pour ne pas que ses lèvres prennes une teinte bleuté. Elle se releva ensuite vers lui, se tenant droite derrière lui.

- Je t'en pris, ne bouge pas. Je... C'est simplement que... Je... Je veux être près de toi... Toujours... -

Le dernier mot était lourd d'émotion. Toujours, chaque instant, chaque seconde. N'était-elle pas effrayer de se lasser d'une telle prison.? Pas le moins du monde. L'enfer c'était lorsqu'il n'était pas là. Maintenant, avec lui, elle respirait tellement mieux, elle ressentait tellement bien. Elle aperçu une grosse éponge bleu suspendu à un crochet. Au dessus, quelques fossets dans la céramique ou on posait la pain de savon. Elle les pris, les frictionnant tout en réfléchissant à une manière de lui parler, une façon de correctement s'exprimer. Elle reposa la barre, posant ensuite sa main hautement sur sa hanche, presque sur ses côtes. Elle se mit à le masser délicatement entre les homoplates, remontant parfois vers ses épaules, en d'autre temps glissant vers son dos. À mesure qu'elle savonnait, l'eau laissait rapidement réapparaitre sa peau lisse et blanche. Elle essayait de l'imaginer avant, autrefois. Lorsque sa peau devait être joliment rosé et que ses yeux reprenait cette couleur emeraude qu'elle n'avait vue qu'une unique fois. Peut-être sa nouvelle vie lui avait-elle donner ce teint. Si lisse et si blanche. Mais ses courbes étaient les siennes. Sa superbe crinière et sa prestance de chevalier. C'était tout des choses qu'il avait de naissance. Elle s'étonnait de trouver l'homme plus intriguant que le vampire. À cette pensée, un sourire s'afficha sur ses lèvres. Peut-être était-ce une bête sanguinaire qui l'avait trouver. Peut-être était-ce ce vampire pervers qui l'avait plaquer contre se mur. Mais ce n'était pas pour eux qu'elle avait craquer. C'était pour se souffle avide et ses douces lèvres. Pour son esprit noble et sa volonté de fer. C'était de lui qu'elle était amoureuse. Qu'importe les superbes voitures, qu'importe la grande maison et tout ce qu'il était à même de lui offrir. Elle aurait presque souhaiter qu'il ait été un homme comme tout les autres simplement pour qu'il réalise qu'ils auraient été tout aussi inséparable.

Mais ça n'était pas le cas. Si il avait été un homme comme les autres, il serait mort depuis longtemps. Assainés ou emporter par le temps. Rien de naturel aurait pu les unirs. Leur amour avait traversé le temps, presque deux cent ans. Elle ne pouvait pas s'imaginer être privé de lui aussi longtemps. Dix-neuf ans avait été une torture suffissante à son coeur. Mais elle était là, aujourd'hui. Était-ce quelque chose de divin qui l'avait offert à ce bel ange déchu.? Ou était-ce simplement la providence.? Elle continua de masser délicatement chaque courbe de son dos, pensant sans jamais rien souffler. Comment pouvait-elle lui expliquer quelque chose qui la désemparait totalement. Sa main quitta son corps, celle poser sur sa hanche l'invitant à se retourner. Dès qu'elle posa les yeux sur son visage, elle sourit. C'était instantané. ELle quitta rapidement son regard, ses joues légèrement rougit par une émotion indescriptible. Elle se mit à savonner son torse, de bas en haut comme elle l'avait fait pour son dos. Ses yeux brillait d'admiration pour un corps aussi parfait, elle laissa son regard tomber à quelque reprise en rougissant de plus belle. Peut-être l'avait-elle senti, mais c'était la première fois qu'elle pouvait regarder. Était-ce pour cela qu'elle était venu.? Pouvoir le contemplé totalement et sans aucune restriction. Elle aurait prier pour que le soileil soit et qu'il brille de milliers de diamants, mais ça n'aurait pas été aussi romantique que le grondement sourd qui déchira le ciel. Comme une plainte des cieux devant une union aussi improbable. Un tonnère unique qui la fit légèrement frémir. L'éponge glissa de sa main, tombant dans le fond de la baignoire. Sa main poursuivit tout de même ses délicates caresses tout en souriant. Elle leva les yeux vers lui, un sourire angélique au visage.

- Embrasse moi, Edward. -

Sa voix tremblait de désir. Sa peau frémissait d'envie. Elle le désirait, lui, son Edward. Son grand chevalier noir. Était-ce mal de le pousser ainsi perpétuellement.?

Invité

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I

- La question ne se pose pas, c'est une chose dont je ne pourrais guère me passé ... Et qui est inévitable .. -

L